10 juillet 2019
Jonas Kaufmann, le ténor qu’on aime car il nous fait tout aimer à l’opéra, fête ses 50 ans aujourd’hui.
Jonas Kaufmann, le ténor qu’on aime car il nous fait tout aimer à l’opéra, fête ses 50 ans aujourd’hui.
Et comme ce ténor inspire généreusement ce site, une image captée lors des saluts de Manon Lescaut à Munich en 2014, l’expression du merveilleux de l’opéra : chanter c’est donner du bonheur aux autres, et s’en donner d’abord à soi-même.
A 50 ans, riche d’une expérience longuement mûrie et d’un travail accompli, il reste pour l’heure le ténor que l’on attendait : hier Don José, Florestan, Werther, Mario, Siegmund, Maurizio, Lohengrin, Parsifal, Don Carlo, Chénier, aujourd’hui Otello, Alvaro, demain Tristan, Peter Grimes ou Siegfried.
Depuis plus de 10 ans et le "big bang" de son Werther parisien, les éloges tombent car l’art lyrique a trouvé son serviteur. "La voix de son être" (2008), "La plus belle voix du monde" (2010), "Aimé des dieux" (2013), "Le ténor que le monde attendait" (2014), "La suprême intelligence d’une voix en or" (2015), "Maître chanteur" (2016), "Le Chevalier phénix" (2017) ou "L’Otello de tous les sommets" (2018).