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11 octobre 2014 : La découverte scientifique de "L’effet Mozart" est devenue une légende. En 1993, des chercheurs ont pensé démontrer que le fait d’écouter du Mozart durant au moins 10 minutes par jour permettrait de développer certaines aptitudes telle que le raisonnement dans l’espace et une plus grande ouverture d’esprit. Les ventes de pianos explosèrent et les conclusions de cette "découverte" rejoignaient simplement celles de la musicothérapie en général.
S’allonger sur un divan et écouter des sons harmonieux peut changer notre état d’esprit. Des études sérieuses ont prouvé que le taux de l’hormone du stress chutait, provoquant une grande détente immédiate. On commence à comprendre pourquoi la musique influe sur nos émotions mais est-ce la même chose avec Mozart, Beethoven ou Wagner?
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Le fait de relier ces bienfaits à la seule musique de Mozart était une erreur, toutes les musiques sont concernées. Chez le jeune enfant, les berceuses ont un effet apaisant.
Si "l’effet Mozart" avait été vérifié, voici les comportements que nous aurions pu observer avec d’autres musiques.
Si "l’effet Mozart" avait été vérifié, voici les comportements que nous aurions pu observer avec d’autres musiques.
Avec Beethoven, l'enfant est très perfectionniste et il développe un complexe de supériorité tout en étant sujet à de violentes crises de colère.
Avec Mahler, il crie fort et sans cesse qu’il va mourir.
Avec Mahler, il crie fort et sans cesse qu’il va mourir.
Avec Wagner, il devient vite mégalomane égocentrique et il peut parler pendant six heures.
Avec Bach, l’enfant mémorise les Ecritures et dit ses prières tous les jours.
Avec Haendel, l’effet est identique à celui de Bach mais l’enfant peut ajouter un comportement dramatique.
Avec Liszt, l’enfant parle rapidement et de façon extravagante, mais sans jamais dire quelque chose de vraiment important.
Avec Bach, l’enfant mémorise les Ecritures et dit ses prières tous les jours.
Avec Haendel, l’effet est identique à celui de Bach mais l’enfant peut ajouter un comportement dramatique.
Avec Liszt, l’enfant parle rapidement et de façon extravagante, mais sans jamais dire quelque chose de vraiment important.
Avec Brahms, il est capable de très bien parler aussi longtemps que ses phrases contiennent un multiple de trois mots (3, 6, 9, 12, etc). Cependant, ses phrases contenant 4 ou 8 mots sont étrangement sans inspiration.
Avec Schoenberg, il ne répète jamais un mot avant qu’il n’ait utilisé tous les mots de son vocabulaire. Il peut même parfois parler à l’envers.
Avec Stravinsky, l'enfant est sujet à des crises sauvages, gutturales et profanes très handicapantes pour la scolarité.
Avec Schoenberg, il ne répète jamais un mot avant qu’il n’ait utilisé tous les mots de son vocabulaire. Il peut même parfois parler à l’envers.
Avec Stravinsky, l'enfant est sujet à des crises sauvages, gutturales et profanes très handicapantes pour la scolarité.
Source Classic FM
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